Au hasard d’une promenade le long du Danube et peut-être sous l’influence onirique d’un médaillon ancien en forme de cœur, la rêverie nostalgique de Laura la mène à observer une succession de filles superbes, d’une beauté altière, désirables au-delà du possible, qui semblent hanter les hauts lieux de Budapest. Chacune à sa façon contribue au triomphe de la chair, à la magnificence du sexe et du plaisir devenus des arts majeurs. Alors que Laura les observe, masturbations gracieuses, introduction délicate des doigts dans la chatte bientôt suivies de fellations élégantes et de pénétrations masculines ardentes mais non moins raffinées se succèdent sous ses yeux jusqu’à l’apothéose où deux déesses, qui sont peut-être la double projection de ses désirs secrets, parviennent à la fusion saphique parfaite…